C’est à Beijing qu’a débuté notre périple en sol asiatique et c’est également ici qu’il s’achève. Nous avons l’impression d’être dans une autre ville tellement l’ambiance n’est pas la même. Lors de notre passage en janvier (article de Simon, article de Sandra), la température oscillait entre -10°C et 0°C alors que ces jours-ci, elle est plutôt autour de 35°C ce qui fait en sorte que le décor est complètement différent et beaucoup plus de gens se baladent sur la rue.
Ping-pong
Nous sommes repassés devant l’endroit près de l’hôtel où plusieurs s’adonnent à leur sport préféré, le ping-pong. Et il y en avait de l’ambiance ce matin! Alors que nous observions les pongistes s’échanger la balle, un monsieur nous a fait signe d’avancer et il se trouve que l’homme était professeur d’anglais donc on a pu lui piquer une bonne jasette. Une dame a d’ailleurs quitté le jeu pour venir à notre rencontre. Elle ne parlait pas anglais mais elle était extrêmement curieuse par rapport au Canada et le monsieur faisait l’interprète. Ses questions étaient très pertinentes. Entre autres, elle nous a demandé si nous nous sentions seuls étant donné que notre pays est si grand par rapport à son nombre d’habitants. Intéressant comme vision des choses.
Palais d’été
Lors d’un séjour à Beijing, une visite à mettre au programme est celle du Palais d’été, demeure qu’utilisaient autrefois les empereurs pour s’évader de la vieille cité impériale lors des chaudes journées d’été. Outre ses pavillons, le palais comprend de grands jardins et le Lac de Kunming qui occupe les trois quarts du parc. Au 18e siècle, l’empereur Quianlong avait fait venir environ 100 000 travailleurs pour agrandir le lac et embellir les jardins. On peut admirer le tout en un regard du sommet de Longevity Hill surplombant le parc. En cette chaude journée ensoleillée, nous avons beaucoup apprécié la promenade autour du lac et la brise qui soufflait. À certains moments, au coeur de la verdure près du lac, on aurait pu croire que nous étions en pleine campagne et ça, je n’aurais pas cru ça possible à Beijing.
Grande Muraille… encore
Vous vous demandez certainement pourquoi nous retournons à la Grande muraille alors que nous y sommes allés en janvier. D’une part, l’atmosphère était remplie de smog lorsque Simon s’y est rendu. D’autre part, il n’y avait pas de végétation car c’était l’hiver. De ce fait, le point de vue serait certainement fort différent. Cette fois, c’est le site Jinshanling que nous avons exploré.
Canard laqué et fondue mongole
Le mot de la fin
Laisser un commentaire