Son labeur quotidien consiste à tracter à pied un pousse-pousse transportant la plupart du temps des clients et occasionnellement de la marchandise. Il parcourt de 20 à 30 km par jour pour à peine 100 à 120 roupies (2$ environ) qu’il doit ensuite redistribuer partiellement au propriétaire du rickshaw. Je l’observe faire une courte pause, le temps de faire une prière. Puis, aussitôt, il est reparti pour une autre course. 90% des 35 000 rickshaws-wallahs sont sans abri. Parmi eux, la majorité souffre de tuberculose ou de maladies pulmonaires. De nombreux organismes de protection des droits humains souhaitent voir se concrétiser la disparition de ce moyen de transport. Comment offrir des alternatives à ces milliers d’hommes sans les abandonner totalement à la rue? Voilà le dilemme actuel qui fait que le métier subsiste encore.
La vie d’un rickshaw-wallah à Kolkata
Son labeur quotidien consiste à tracter à pied un pousse-pousse transportant la plupart du temps des clients et occasionnellement de la marchandise. Il parcourt de 20 à 30 km par jour pour à peine 100 à 120 roupies (2$ environ) qu’il doit ensuite redistribuer partiellement au propriétaire du rickshaw. Je l’observe faire une courte pause, le temps de faire une prière. Puis, aussitôt, il est reparti pour une autre course. 90% des 35 000 rickshaws-wallahs sont sans abri. Parmi eux, la majorité souffre de tuberculose ou de maladies pulmonaires. De nombreux organismes de protection des droits humains souhaitent voir se concrétiser la disparition de ce moyen de transport. Comment offrir des alternatives à ces milliers d’hommes sans les abandonner totalement à la rue? Voilà le dilemme actuel qui fait que le métier subsiste encore.
Commentaires
4 réponses à “La vie d’un rickshaw-wallah à Kolkata”
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C'est triste pour les rickshaw-wallah… Comme vous le dites, la pollution doit être énorme. Il doit y avoir plusieurs asthmatiques. J'imagine que cela a dû être particulier de se retrouver où vivait Mère Térésa.
Ces images nous donnent un bon aperçu de la ville. Très bon hyperlien aussi concernant les rickshaw-wallah.
Dani.
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Sandra tu as une new car? En tout cas le gars du téléphone manquera pas de job!
Jin xx -
Commentaires en vrac.
– Absolument fascinant le commentaire sur les rickshaw-Wallach. Tout un problème en effet.
– La propreté semble laisser à désirer. Aussi, l'air est-il sain? Les photos laissent voir une apparence de smog. De là j'imagine les problèmes respiratoires mentionnés.
– Encore une fois, un magnifique cliché de l'infrastructure de communications et distribution électrique.
– Sandra semble avoir pris contrôle du véhicule diplomatique.
– Impression ou des tonnes de gogosses "made in china" chez les marchand de rues?-
Smog tu dis? La pollution atmosphérique au-dessus de la plupart des villes indiennes additionnée de toute la poussière des rues rendait souvent notre respiration difficile. C'est sûrement ce qui explique qu'on entend constamment les gens se racler la gorge avec grande finesse avant de cracher le tout avec distinction! 😉
Tonne de gogosses "made in China"? Nous n'avons pas vérifié. Ce sera pour un prochain voyage!
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